Elle avait gardé un cœur d’enfant
Sa voix chantait nos joies et nos tracas
C’est dans mes larmes de tristesse
Que j’ai trempé ma plume
Pour lui rendre hommage.
Elle était digne et discrète
Malgré ses détresses.
Ses peines à elle, se devinaient dans ses chansons
Chaque chagrin raisonnait sur une bande de son.
Depuis mon enfance, elle m’accompagnait
Sa voix enfantine, me chantait.
Si maman si, si maman si,
Elle s’en est allée rejoindre les siens
Dans le paradis blanc
Près de sa fille et de son berger.
Chère France Gall
Trouve là -haut, enfin la paix.
----------------
«La poésie est cette musique que tout homme porte en soi.»