Aux blessures de l'âme...
A cette décadence qui s'affole aux compteurs d'un temps qui se brise
Là où l'espace n'est d'autre qu'une porte qui cloisonne le cri sourd
Le ballet de la dernière séance d'un arrêt prend le coeur pour une crise
Et dans la glace s'enferme l'âme morte qui sonne le glas de cet amour
Les lueurs pourpres sont une promesse que demain est une illusion
Car l'empreinte du vide se tend à travers la lumière et la noire matière
L'étreinte se veut un brin livide du point de l'envers l'histoire est hier
Les couleurs défient les sutures de détresse sans possibles contusions
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