Sur le mont Olympe, une déesse est couchée,
Endormie, elle rêve d'un amour dissimulé,
Le souffle léger d'Eole lui délivre un baiser,
Une promesse d'amour que je lui ai envoyé.
Ni les dieux, ni les hommes ne pourront nous séparer,
L'amour a réuni nos vies, pour l'éternité,
Et nous chanterons en cœur, tous ces moments de bonheur,
Bordant des "Je t'aime" sur nos lèvres vainqueures.
Zeus un jour, sur nous s'est vengé,
Le tonnerre a cogné , la foudre a frappé,
Mais notre amour si beau, au mal a survécu
Même si nos corps ont à jamais disparu.
Errantes, prisonnières de notre amour interdit,
Condamnées comme Dédale dans sa propre création.
Et lorsque vous écoutez le vent avec attention,
C'est Eole qui délivre nos chants du paradis.
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Écris encore, écris toujours et gave toi de plaisir à le faire comme à en apporter à celles, ceux qui te lisent. P. (B)