Les politicards
Dans la nuit de ma vie, je revis l’impossible
Ceux qui m’ont humilié, pour moi l’inadmissible.
Pourtant j’ai toujours été loyal et sincère
Faisant face sans cesse à toutes les misères.
Mais le monde vit ainsi, toujours critiquant
L’inaccessible, qui lui, est souvent manquant.
La jalousie le pousse alors aux commentaires
Qui, à n’en pas douté, il ferait mieux de taire.
Une succession de bassesses désobligeantes
Perpétrées par des êtres à l’âme dérangeante.
Leur hargne de faire toujours appel au mal
De supplicier l’humanitude, est anormal.
De discours, en discours, ils décrédibilisent
Leurs opinions qu’ils changent à leur guise.
Le mensonge conditionne leurs expressions
Pour soumettre les citoyens à l’adhésion.
Le chant des sirènes envahit notre vie
Imperceptiblement sans désir ni envie.
Il nous conditionne dans un monde perdu
Ou notre existence deviendra très ardue.
Prions pour que demain notre belle existence
Soit débarrassée de cette triste influence,
Des politicards véreux, irrespectueux,
Aux sermons pourris et actes délictueux.
Daniel Lefebvre
27.10.2017
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