Pierre, papa, papy
Tu viens de partir loin d’ici
Pourtant de ta présence la maison est remplie.
Tu es constamment près de moi,
Même si je ne te vois pas.
Je te cherche dès le matin
Sachant pourtant que tu es loin
Et que tu ne reviendras pas,
Difficile de te savoir dans l’au delà.
Est-ce que tu penses encore à moi,
A nos moments remplis de joie ?
A notre très grande famille,
Aux petits-enfants qui babillent ?
Est-ce que c’était déjà ton heure,
Fallait-il déjà que tu meures ?
Tu avais tant de choses à vivre
Un bout de route à poursuivre.
Tout dans ta tête s’embrouillait,
Et tu étais si fatigué
Que tu as sûrement dû penser
Qu’il était temps de nous quitter.
Ne voulant plus nous faire de peine,
Tu as vite quitté la scène.
Et si notre coeur est brisé,
On sait que tu es apaisé.
Nous ne pourrons pas t’oublier
Toi qui nous as tellement aimé.
Pierre, papa, papy
Nous te disons un grand merci.
Ghislaine Coudert
19.10.2017
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Merci à tous pour vos commentaires qui me vont droit au coeur