Sur un quai de gare
Une femme , un militaire
Ne pas trahir
Mais partir pour la guerre
Guerre est féminin
Scène pastorale , un champ ...d'honneur
Une permission un passé revisité
Car le lieu de guerre a transformé le paysage
Un timbre flirtant sur le courier militaire
Une voix intérieure ,à l'extérieur on se bat
Une lettre d'amour du front
Un baiser sur le front avant de partir
Un militaire et une femme
Un sentiment personnel qui touche l'universel
Mais en temps de guerre sauvagerie , ennemi
La fin d'une innocence ,une crise de conscience
Sur le quai un coup de coeur , tomber amoureux
Sur le front un coup de fusil , tomber au champ d'honneur
Un dernier baiser , une dernière étreinte
Un au revoir , jamais un adieu
Cela porterait malheur
La vapeur de la locomotive
Entrer dans les brumes
Pour les brouillard du feu
Le train à compartiment
Un batallion
Les portes se ferment
La fenêtre un dernier penchant
Une ligne de train
Une ligne de texte
J'ai oublié mon fusil , il me faut revenir
La guerre m'a trompé
Nous serons amants
N'à guerre que serons nous
La paix revenue
Entre deux espoirs
L'espérance n'est pas pour demain

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domi.gondrand@laposte.net

Bonsoir Poetal,

Grande profondeur poétique !
Bravo !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

temps de guerre
merci Poetal pour ce superbe et profond partage
bonne journée
Denise

Le jeu des maux de l'humanité...

Naguère sera notre futur

Superbe Poetal !

Belle soirée
Amitié
Marc

Bonjour poetal, touchant poème, la folie destructrice de l'homme

Amicalement

Belle évocation du départ pour la boucherie de la Grande Guerre..... mais ils ne savaient pas, les premiers qui y sont partis... ils croyaient que cela allait durer peu de temps.... Ils ne se doutaient pas de l'incurie des grands responsables de l'armée d'alors, qui les ont amenés au massacre délibérément...

J'aime ce texte... il a des résonances profondes dans ma famille passée...

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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)

De très belles images poétiques nous plongeant dans les atrocités d'une guerre pénible où des soldats ont quitté leurs familles pour rejoindre le front.
Malheureusement, beaucoup ont péri sur ces champs de bataille et ne reviendront plus.
Un bel hommage à tous ces combattants qui ont défendu notre pays avec courage pour l'honneur de la France.
Amitiés poétiques
Alain