Fin.
La complainte des Amours perdus,
Dans ce grand Silence assourdissant
Passent et s’égrènent les secondes
A l’Orée des rêves des espoirs.
Face à un tel feu incandescent,
S’offre l’abîme de ce Monde
A la lisière du Désespoir.
Les choix éternels et moribonds
Parcourent nos univers de pluie
A la tristitude enlacée.
Vont et viennent à l’unisson
Laissant apparaitre les folies
Les éphémères choix meurtriés.
La complainte des Amours perdus
Effleure les esprits fatigués
Cherchant cette évasion à tous prix.
La flamme vivante de la vertu
Au Soleil vif de cet écorché,
Court au-devant des intempéries.
Le dimanche 16 juillet 2017
Basile Béranger Chaleil
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Basile Béranger Chaleil