Les nouvelles vacances m’ont mené
Dans un monde merveilleux ravivant
À fond de cœur d’un espace émouvant
Les explosions de mes pulsions excitées
Toute ma passion est venue se déposer
Sur ce beau visage doucereux de lucidité
Les yeux brillant sur l’iris de ma volonté
Pour toi la désirée, fruit de ma suave voracité
Mon anxiété de te perdre à ce lendemain
De jours parcourus sur ce temps incertain
Qui me fuit prompt quand se lève le matin
Je veux rester près de toi car là est mon certain
Et tes baisers me disent au lever du noir des soirs
Ne pars pas, restes près de moi, dans mon fermoir
Je te garde au cachot de mon cœur, pas d’au revoir
Il me préserve de cette douleur de ne plus t’entrevoir
Je ne veux plus que le temps nous échappe lunatique
A nous séparer quand culminent nos effusions mirifiques
Je ferme les yeux, je nous vois enlacés magnifiques
Hors du temps, notre rêve se poursuit dans l’authentique
De ce temps intermède des vacances surgira l’infini
De notre amour pour ne pas décevoir notre tendresse éblouie
Il sera le temps de ne plus compter cette attente de vie
Quand les nuages sombres cachent notre soleil du ravis.
Æ’C
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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux