Sur le ton consacré aux soupirs,
Je déplorais de souffrir mes craintes.

Toute médaille a ses revers.
Ça s'abîme [la santé] pas si pire.

Le mal empire
Le cas ne serait pas sympa.
La maladie évolue,
Manqua de partir
Ne partit pas.

Mes désirs amers
Me laissent le coeur gros.
Me ménageais-je un peu trop ?

Il n'est pas nécessaire
de penser ce qu'on dit.
Ce n'est pas une gueulante.
C'est un lamentable cri.
La désinvolture, le détachement
tous je les maudits.

J'irai jusqu'à dire
qu'il m'apprehende
ce coup de bistouri.

Le coeur a ses raisons
Que la raison ne connaît point.
Dévisser son billard
en passant sur le billard
ne fait pas gloire de mourir.

Je voudrais mourir plus tard
quand je serais guéri
à part que je crève avant
scalpel scarificateur
taillant à même la chair.

Un poème plein d'amertume, de colère et d'angoisse !

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Bonsoir bElhirch,

Très émouvante poésie !



Douce soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bien écrit ce poème prenant!
Driss

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss

Sybilla
Cylineb
Et vous Driss
Vos avis me rassurent. En quelque sorte j'ai souci de ne pas ennuyer.
Merci tous poètes
Amitiés