Chinons un peu dans les salons
dans le couloirs et les chambrettes
dix neuf cent trente Napoléon
des bronzes anciens et des statuettes
tous ces objets viennent vers nous
l'histoire en mains de leur nounous
peut bien le dire elles étaient là
à les serrer entre leurs bras

chinons un peu les aventures
de leur passé impressionnant
en se servant de couvertures
ils s'enveloppent dans des draps blancs
trouver l'argent pour sa famille
dans cet État trouver ses billes
voilà l'affaire de ces voyous
qui ne valent pas le moindre clou

chinons un peu dans ce bas monde
les occasions qui nous iraient
trouver quelqu'un dans cette ronde
qui du plus simple s'occuperait
que les plus pauvres ne meurent de faim
être à l'abri de tout malin
gardons le bien lui il saura
soulager le prolétariat

jolie brocante de mots,j'ai aimer fouiller dans vos écrits,merci de ce partage poétique .

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lagrib

"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"

merci

Bonsoir Bip,

Merci pour ce profond partage !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)