Il y a de la volupté
à pleurer à chaudes larmes,
Lorsqu'une fois le spleen
nous portait à caresser
nos bonheurs ratés.

Le postulat n'est pas
au-dessous de la vérité,
quand l'égalité de l'âme
n'est plus élémentaire,
ni à portée de la volonté.

Dans ce cas de figure,
à la première alarme,
comme une came
entraînée par une horlogerie,
on pleure fort, très fort,
pour ne pas faire des conneries.

Cela tombe sur le sens.
tous les tristes de l'extrême,
d'aucuns des ennuyés de soi,
et tous les dégoûtés des autres
étaient constamment prêts,
à des mesures désespérées.

Je ne sais pas comment
s' appelle cet état d'âme,
qui ranime la flamme
sur le tombeau des saudades
des sujets de mécontentement
toutefois, chacun vieux rogatoire.

A.Belhirch

lire relire se laisser toucher par les mots
merci pour la profondeur de ces lignes
sensible à votre écrit poète.

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Bonsoir Cendrilles
Il me réjoui que mon poème vous a plu. cependant je voudrais par l'intermédiaire de cette reponse à votre
aimable commentaire faire savoir à tout éventuel lecteur de ce texte qu'il a survenu involontairement une faute de saisie qui a défiguré le sens du titre. Au lieu de
L'arme impulsive
je voulais dire
Larme impulsive.
mes salutations poétesse
A.Belhirch

Bonsoir bElhirch, touchant partage poétique, les larmes ont tant à dire sur nos joies, nos tristesses ou autres

Amicalement

Bonsoir bElhirch,

Très beau et émouvant poème !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonsoir EviFranck
Bonsoir S'y billard
Roland a dit : les sombres adagios pleurent au milieu des symphonies. L'homme pleure au milieu d'un abattement profond. C'est la seule cure possible pour ne pas avoir plus mal.
Mes salutations poètes