Il faudra bien un jour laver l’offense, Nettoyer la boue qu’il y a sur mon cœur. Pour endormir le magma qui en silence, Remonte à la surface de mes profondeurs.
Il faudra bien rendre l’honneur, En exile à l’autre bout du monde. Retrouver la trace de mes cambrioleurs, Car sur mes frontières le tonnerre gronde.