Chevauchant au bord de la mer,
Des sabots souillent une mousse albâtre
Un cheval balzan écume sa liberté…
Les vagues viennent mourir
Au pied des valeurs échouées
Les zains sèment la zizanie au cœur d’une peur zinzoline
Les autres, sont à cheval sur une chaise grinçante au vide abyssal...
Dans les anses, s’entasse.. du fer rouillé
La fleur de sel s’envase dans l’ombre du soleil
L’humanité fane face à un reflet vermeil
La longue nuit zopissa dégouline
Engluant les lourds sanglots au sein d’une onde aigue-marine chahutée !
Les vanesses colorées continueront à embrasser les chardons
Malgré le temps !
Ogr3