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Encore un épisode très prenant ! Tu y parles du ''cochon symbole'' dont mon père nous parlait aussi et je me souviens, petite, qu'il en faisait tuer un et toute la famille faisait les ''longanisaz'' (je ne sais pas si ça s'écrit comme ça) enfin bref, les boudins, saucissons, jambons fumés etc..... ! Il y avait de longs bâtons suspendus au plafond de la cuisine sur lesquels séchaient tout ça c'était très drôle !

Merci Jedis, merci de tout coeur 8-)

bisous admiratifs

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

C'estr vrai que le pain noir reste le signe de pauvreté, on disait avant d'une personne vouée à la misère, " Elle va manger du pain noir ! "

Merci Henry pour ce très beau 32

Cher Henry

Comme le papa de Adeline,le mien aussi tuait le cochon,avec les autres espagnols du village !!!
Merci d'etre notre mémoire!!!!
Besitos

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Soy de un lugar donde el viento se calma al llegar.............

Encore un pan de ton enfance que tu nous dévoiles avec maëstro.
A bientôt donc,
Mi.

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EOLIENNE VIVTORIA ISABELOU RAMSES
Merci pour votre fidélité. Le prochaine épisode n° 33 sera le dernier.
Bisous
---Ramses tu as oublié de lire les épisodes 30 et 31 à moins que tu les aies lus sans commenter.

En Espagne pendant et longtemps après la guerre civile ne pas avoir un cochon a élever était un vrai signe de pouvreté. Ma famille est restée plus de quatre ans sans en avoir.
Adeline Isabelou, je garde des souvenirs inoubliables de ce jour où il fallait sacrifier le cochon pour le transformer en saucisses, boudin, jambons. C'est moi qui héritait de la véssie pour en faire un ballon.

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J'aime beaucoup cet épisode de ton histoire, chez mes grands parents aussi on tuait le cochon. Merci de nous parler de ce temps passé trop souvent dans nos mémoires oublié. J'espère que j'aurai l'occasion de lire l'ensemble de ton oeuvre.
A bientôt

Toujous aussi accrochee a ton recit......
Bises.

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De grosses boules de pate molle et blafarde fardées de poudre blanche dont deux entailles sur le dessus faisaient comme des lèvres de bouche fermée et boudeuse.
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belle description
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C ‘est un monde imaginaire que ma pensée fait s’ouvrir. Complice, il m’incite à l’évasion vers un paradis de paix que je voudrais à chaque fois sans retour.
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moi aussi j'en ai le mien.
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«Les pensées apparaissent ....................e question de temps ».
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et philosophe aussi

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-Combien d’êtres humains ignorent qu’ils n’ont d’humain que le nom ?
Henry Tena Gil

merci pour ce nouveau chapitre j'etai impatiente , je vais lire le 33