Repost L'ombre Dans mon prochain recueil Traces temporelles 70 Pages.
L'ombre . . .
Vous étiez née un soir de l'éternelle absence
Egarée jusqu'à l'aube en ce miroir immense
Reflétant l'image d'un passé aux chants flous
Qui murmurait un rêve en mon âme aux yeux fous.
J'aurais aimé frôler en secret votre cou.
Nous ne ferions plus qu'un : deux coeurs ont rendez-vous.
Mais vous ne projetiez qu'une ombre fugitive
Suspendue aux miroirs d'une émotion furtive
Vibrant au silence d'une nuit en dérive
Sur des chemins trompeurs : l'inaccessible rive ?
Pascal
Le jeudi 9 mars 2017.