De part l'obscurs côté du soupirail
Qui découvrait ma solitude dans le détail
Je contemplais cet univers
D'où jaillissait la lumière
Un monde bien différent du mien
Mais où la vie allait bon train
Vents d'amour et de liberté y soufflaient
Fleurs de douce fragrance s'y épanouissaient
Rires et mélodies de joyeux enfants y résonnaient,
Or fabuleux des cieux, chaque jour s'y élevait.
C'était ce merveilleux univers là
Qu'admirer ne m'éreintais pas.
Car mon misérable monde à moi,
Ce monde sans amour, ni caresses
Désert de paix et de tendresse
Et où désespoir et solitude étaient rois
Me donnait cette sévère fièvre
Que ne sauront décrire mes lèvres
Et que gardera toujours mon coeur
En attente d'une étincelle de douceur.

À ceux qui auraient une pensée pour les condamnés.

Bonjour

Je crois que pour voir des barreaux il faut se trouver derrière eux, beaucoup ne les verront donc jamais

écrit qui pousse à réfléchir

On pense forcément à ceux qui sont enfermés parfois à tort entre quatre murs...
Vous avez eu raison de leur consacrer un poème...

Amicalement ...
NL...

Il y a derrière les barreaux des sales types mais aussi une quantité de gens pour qui
la roue n'a pas tourné dans le bon sens.
Alors, pour ceux-là, notre empathie doit s'exprimer.
Merci de le faire, Mira,
ortiaz