Tombe larme sur la rivière
Coulant douleurs d’une misère ;
La montagne s’est écroulée
Les oubliant en la Vallée.
Que de peines fuyant la Terre
Au gré des Vents soufflés naguère ;
Mortes âmes errent sans fin
En campagne et tout confin.
Les oiseaux noirs semant l’odeur
De l’effacé du temps-bonheur
Règnent de cris jetant silence
Aux rescapés de l’obédience.
Et réfugiés cachent leurs pleurs
Près des ruisseaux rouges-malheurs
Priant le Ciel de l’excellence
Ô.. de pleuvoir la résurgence.
Tombe la pluie sur le meurtri
Noyant la peur en sa paroisse,
Pour lendemain sans une angoisse,
Se vêt d’espoir d’un PUISSANT CRI.
Oli ©Larme Invasive