Ce matin du 7 juillet, notre ciel s’est assombri
Pourtant le soleil éclairait encore ta vie.
Maintenant, c’est nous qui sommes dans l’impuissance.
Impuissance de savoir pourquoi tu es partie si vite…
Impuissance de guérir ce mal être,
Qui nous engourdis, il faut bien l’admettre.
Comme un oiseau, tu as déployé tes ailes
Ton envol si inattendu, nous laisse trop frêles.
Il est des rencontres qui surviennent dans notre existence
Et qui nous apportent un enchantement, une espérance.
De cette occasion est nait une véritable amitié.
Jeudi soir, si seulement, j’avais su
Que c’était la dernière fois que l’on te voyait.
Je t’aurais dis, ce que l’on oublie de se dire souvent.
Parce qu’on pense, qu’on a toujours le temps…
Lors de nos marches ensembles, on se disait nos confidences,
On riait ou on pleurait sur l’épaule de l’autre.
Ne me demande pas, de chasser de ma mémoire
Ton sourire ou ton image dans le miroir.
Chantal, notre amie
Nous avons tous le cœur en sursis
Et rempli de désespoir,
Nous te disons au revoir.
Tu vas sacrement nous manquer.
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«La poésie est cette musique que tout homme porte en soi.»