Décibels de si belles voix aux charmes divins,
Fourrez mon cœur si las de mélodies dorées !
Si bémols il y aura sur mon périlleux chemin
La musique, en sauveur, me saura revigorer.
Des mélopées subtiles s’échappent en aérosols
De mes oreilles hantées, encerclées comme l’octave.
Les notes si puissantes fendent la raie au sol
Qui sépare mes pas de joie des peines d’une épave
La cadence de mes doigts caresse la mandoline,
Puis s’envole allegro, Sans tambour ni trompette,
Accorder sa lyre dans les champs de capucines,
Aux cotés d’Aphrodite et d’Eros, faire la fête.
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