Une terre, une plage, une mer, l'horizon, Une larme de soleil écarlate qui coule, Qui se noie, qui se fond, dans la danse de la houle, Et qui meurt ensevelie sous les sables profonds.
Doux silence. Respirez ! Cet air si pur, Tout est calme et magie, écoutez la caresse De la brise qui souffle et qui remue sans cesse Les esprits qui s'élancent de par delà les murs !
Les voilà qui très haut, au dessus des nuages Font tournoyer l'écume de leur chant lent et grave, Là ! Ils volent, et la chaleur plus suave Que la laine m’enivre et doucement me soulage.
Le sortilège des Djinns, ne le craignez pas : Laissez vous inviter dans cette valse mystique, La volonté seule sera votre arme unique Pour garder pieds sur terre, pour rester ici bas.