Nos merveilles de mères veillent sur nos âmes qui s’écrient
Lorsque de macabres démons hantent nos nuits.
Nos réveils en vermeil, en larmes et en cris
S’affaissent par leur grâce et leur douceur inouïe !
Ma merveille de mère veille sur ma peau malaxée
Par la cruauté des fièvres et maux nocturnes ;
Et d’un sourire si fin, aux contours mal axés,
Transforme en frénésies mes joies taciturnes
Nos mères veillent à merveille sur nos desseins puérils ;
Puis s’érigent en boussoles dans les instants pendus.
Qui le pourrait bien nier ? Sans elles c’est du péril.
Profitons de nos mères avant qu’elles soient perdues !
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