Comment croire qu'un jour..
la petite gueule de l'amour...
montrera à nouveau le petit bout..
de son nez... charmant comme tout..

Comment croire que tout pourrait..
arriver quand tout semble se casser...
amoureux sur le banc public...
roses baisers lèvres pudiques...

Comment croire qu'aimer..
est éternellement à recommencer..
sans doute a t-il un si beau visage
des traits parfaits avant qu'ils ne ragent..

Comment croire à ces toujours...
quand le souvenir à le pas lourd
que l'on compare l'ex amant..
à celui qui est, amoureux et présent..

Comment croire à tes mots d'amour
quand mon coeur se veut si sourd..
la chamade est un joli prélude...
à une cour occultant l’incertitude..

Comment croire maintenant que je suis mature...
je bâtis de mes mains cet immense mur..
afin que plus jamais ne m'atteigne.. en plein coeur.
la flèche de ce petit con de cupidon.. de malheur...

Je ne veux plus recommencer dit ma raison...
tu n'y pourras rien dit le coeur.. sans hésitation…
dans mon corps, dans mon coeur, dans ma chair
je n’en peux plus du sortilège des amours mensongères...


Isabelle le 11 avril 2016

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parfois quand on renonce à l'amour, on lui offre les conditions de réapparaitre, c'est assez paradoxal, ne pas trop y penser peut rendre "heureux", j'ai aimé vous lire


yann

..... Ce cupidon n'est pas une flèche, en vérité !! Et tu le dis fort bien ! un plaisir de lecture

Amitiés

Jacques

Bonjour Isabelle refuser de regarder l'avenir sous la lumière d'une certaine espérance, ternit les moindres secondes de la vie.
Une très beau poème teinté d'un grand pessimisme.
J'ai beaucoup aimé suivre ta jolie plume.
Mes bisous courage.

Capricorne

Bonjour Isabelle, très touchant partage poétique sur un ton désabusé, l'amour est aveugle, on veut s'en prémunir, s'en protéger mais vouloir oublier l'amour ne nous en immunise pas

Amitiés

Cupidon fait à sa guise, une flèche ou plusieurs dans une vie

Je ne veux plus recommencer dit ma raison...
tu n'y pourras rien dit le coeur.. sans hésitation…
dans mon corps, dans mon coeur, dans ma chair
je n’en peux plus du sortilège des amours mensongères...

Bon et beau partage, merci


Eden

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Il y a des chevaux d'argent qui brillent de mille feux, lorsque s'éteint le jour, lorsque tout n'est plus bruit. Lorsque la folie anime le ciel plein d'étoiles...alors pour quelques instants, quelques instants seulement, rêvons...

Malheureusement on est coltiné à vivre l'instant sans certitudes pour le lendemain, je crois que l'amour n'existe pas mais qu'il se fabrique pierre par pierre inexorablement.
Ton écriture ne laisse jamais indifférent car elle transpire de sincérité et c'est beau.
Gros bisous de l'indien sensible à la poésie qui sort du coeur.

Si un "Chat échaudé craint l'eau froide" dit-on,
En la réalité de ce simple dicton
Je crois, tout comme toi, et ce que tu exprimes :
Éviter Cupidon, ne peut pas être un crime.

Mais il faut être adroit, il faut avoir le don
Pour détourner les traits de ce petit mecton
Et prendre pour cela quelques leçons d'escrime,
Un peu de karaté aussi peut-être, en prime !


Adn

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Le Maroc à quatre mains . Recueil peintures de Micam et poèmes d'Adn.
Couleurs et mots en osmose. Recueil peintures Micam et poèmes d'Adn.
Connivences. Recueil peintures de Micam et poèmes d'ADN.
AXELLE AUTOMNE, HIVER roman par Micam (mon ...

on en veut plus... mais on ne peut pas s'en passer!!
merci du partgae Isa
des bises

C'est écrit d'une belle façon que je retiens mon arc....Beau partage....Merci....

***DAN***

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***

oh là là Isa
sais tu que ça me parle trop trop trop
toi aussi écris écris encore encore
et là je viens déposer sur ta joue un bisous doux et tendre mais surtout sincère

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Vouloir aimer à nouveau, mais ne plus souffrir. Alors faut il aimer ?
Ou rester dans le souvenir cuisant d'une erreur passé.
Mais si le coeur bat.... alors ce mur resistera t'il ?

Un poème touchant . J'ai adoré cette reflexion.

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Voici mon recueil de poésie 2017.

Comment veux tu que Cupidon accède à tes désirs (rires) avec ce malheur que tu lui colles............

Brassens a dit "il y a des jours où Cupidon s'en fout", il semble que ce soit le cas. Espérons qu'il va changer d'attitude.



En même temps il a raison, un petit bijou cette poésie, j'aime.

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.

Comment retrouver confiance lorsque l'on a été trop blessée ?
Bien à toi,
ortiaz

J'ai écrit il y a peu
Une lettre à ma fille
"Méfie toi de cupidon. ..."
Je suis d'accord. ..

Bonjour
Bravo
À bientôt
Merci
Thierry

Très beau poème où tu dis très bienl e paradigme de l'amour, que le coeur appelle et dont la raison se méfie.
Merci de faire partager cette belle philosophie de la vie.
Bisous de Keraban

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J'aime la poésie qui me parle et qui chante

Lire plusieurs de mes livres : récits, roman, polar, essai, poèmes :
https://issuu.com/jardinier?utm_source=2017W29_subscribers&utm_campaign=Digest&utm_medi...

comment croire ? jolie réflexion où la réponse transparaît dans le texte
j'ai aimé cette lecture partagée, merci

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@micalement
Gabrielle. E.

Vivre la poésie en toute liberté, l'aimer, la lire, l'écrire.. un reflet dans le miroir des alouettes.



mon blog:
http://www.mon-imaginaire.com

Les amours déçues font qu'il est difficile d'imaginer "remettre le couvert".... Et pourtant quand Cupidon, que j'appellerai "Cucupidon" puisqu'il lui arrive de l'être, frappe au cœur, il est bien difficile de lui résister... La tête et le cœur doivent être en harmonie pour que tout se déroule au mieux.... Mais il faut toujours rester optimiste... Je le suis !

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

Bonsoir

La mort d'un Amour donne naissance à un nouvel Amour : éveil d'un printemps dans ton coeur.

Je te souhaite une excellente soirée.

Je t'embrasse affectueusement.

Pascal

Oui, bien sûr, mais peut-on vivre sans amour ?

Bravo
Merci

Bonjour,

"petit con de cupidon de malheur".... Magnifique lol

J aime beaucoup comme d habitude, ta poésie me surprend toujours et j aime ca.

Les amours sont pas tout le temps mensongères, heureusement... Je comprends les murs, peut etre faut il laisser parfois quelques petites brèches dans les murailles, on est jamais contre un éphémère sensuel

Bancs publics de chez Brassens ?

Il a d'ailleurs chanté cupidon en ces termes :
[img][/img]

Amitiés
Anamorphose

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Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous

La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires