Uckange tu te changes
Au bel été des mésanges
Quand pleurent tes fleurs
Sur tes parterres du bonheur
Nos yeux se sont surpris
Aux belles couleurs fleuries
Du parvis de ton hôtel de ville
Où se viennent tes amis dociles
Ta grande cité sans fleur
A oubliée la triste peur
Et seule les bons parfums
Affolent au loin la rumeur des uns
Là bas au-delà de ton pont
Se fond au bel horizon
L’usine fière de tes ancêtres
Elle rythme la vie à leur fenêtre
Je vais par tes grandes rues
Couché sur les espaces ventrus
De cette verdure qui joue captive
Avec le rire de l’enfance expansive
Et leurs parents sous les étoiles
Au coin d’un parlé dévoile
La vie de leurs familles là -bas
Contant Uckange quand elle s’aoûtera
A la froidure du nouvel hiver
Tes enfants au pull-over recouvert
Disparaîtrons de ton gentillet monde
Et le silence se confiera aux facondes
Tu auras rangé toutes tes fleurs
Pour sortir cet artificiel des lueurs
Qui brillera pour nos yeux bandits
De toutes tes sages faveurs inouies
Tes images, toutes je les range
Dans la nostalgie d’un voyage d’ange
Au Village fleuri où les joies s’ensilent
Quand je rêve à la nuit d’Uckange la fragile
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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux