Les flammes de l’illusion
Couvrent mon corps en fusion
Du fond de ses erreurs de luxe
Ce corps qui transpire
De ses folies du tout dire
Sans une véritable complicité
Avec cette raison ulcérée
Est-ce ma vérité, rite audacieux
D’un boniment fallacieux
Que de faire ce libre acte impétueux
O libre arbitre courageux
Quelles cendres caresseront le vrai
Pour le couvrir dans l’immensité
De la confiance de ma raison éprouvée
Celle qui se veut là , parfum de sincérité
Raison je m’enthousiasme quand tu me surprends
Dans le sûr indicible de ton juste parfait
Celui de ma pensée authentifiée par le temps
Qui m'a offert rationnelles traces de vérité
J'attendrai mon fidèle conscient pour assurer
L'instantané du vrai de ma pensée
O Mon corps !
A vouloir révéler le juste
Conçois! Que ma bonne raison
Ne déracine que le digne du vrai à dire
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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux
