Ni comme le serf que Damoclès adoube
Ni par le fruit vert ou mûr d’un hasard
Blanc froment fût-il ou sombre caroube
Non, vraiment, je ne dois rien Ă CĂ©sar !
Il arrive que mon âme me boude
Lors que le cœur se déroule en bazar
Comme il arrive qu’échine se soude
Face au sirocco et dos au blizzard.
Souviens-toi Missoum de notre algarade
Ton estoc à la mode du « Mc zen »…
Mon unique et infaillible parade
Et mes bons témoins, traîtres cotés zen.
Nul, pourtant, ne savait la révérence
D’un Zeroual pour un sombre devenir
Mais on avait, du moins, la référence
De l’insulte à porter dans l’avenir...
MĂ©at offert au potentat qui sonne
Dut-on jouir d’une immense douleur
Et rire du brave qu’on désarçonne
Car n’agréant qu’à son propre malheur.
Commis qu’on élève et qu’on émascule
Eunuque tu es né… Ne gémis point !
L’honneur serait ce « j’ose » minuscule
A jamais perdu sous ton embonpoint.
A.Alloun
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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!