Son souvenir m’alarme,
Je verse des larmes,
Tu as du laisser tes armes
Tu n’es plus gendarme.

J’aimais tant ta tenue,
Et ton beau képi,
Ta jolie tête menue,
Savait bien l’embellir.

Les plis de tes chemises,
Comme ceux des soldats,
Quoi que les gens disent,
J’aimais ces plis-là.

Mais j’aimais un peu moins,
Lorsque tu partais,
Travailler très loin,
Pour toi je pleurais.

Je comptais les heures,
Ma montre était complice,
De mes yeux qui pleurent
C’était mon grand supplice.

Mais toi mon beau gendarme,
Tu avais ça dans la peau,
Ce métier des armes
Qui égayait ton cœur.

J’aime mon gendarme,
Et je rends honneur,
Même si des larmes,
On sut noyer mon cœur.

Paquita

Un beau métier
Un bel amour en tes mots

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Amicalement Alanna

Ton poème me touche beaucoup car mon fils à qui j'ai adressé une lettre (que tu as peut-être vue) est gendarme. Il était si beau dans son uniforme !

Merci, merci.

Sincères amitiés

Linette

J'aimais tout particulièrement ceux de St Tropez !
Il est vrai que les uniformes attirent.
Pour les hommes ce sont plutôt les blouses d'infirmière ou les uniformes d'hôtesse de l'air.
Encore que les petites gendarmettes :-))
Bien à toi, Paquita,
ortiaz

De jolis mots pour ce gendarme cher á ton coeur .

joliment exprimé

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

bel hommage à la profession.

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«La poésie est cette musique que tout homme porte en soi.»

merci mes chers lecteurs de votre lecture et commentaires...