Si j’étais Président de la République,
J’abolirai les lois merdiques.
Je ferai mon gouvernement
Qu’avec des enfants sympathiques.
Je ferai construire des maisons fantastiques
Pour y mettre nos papis et nos mamies
Pour qu’ils finissent leur vie en douceur.
Je boucherai le trou de la sécu avec honneur
En supprimant les repas juteux,
Les cadeaux onéreux,
Tout l’argent gaspillé
Des Champs Elysée
Et d’autres institues.
Grâce à mon ministère
Fait de gentils gamins,
Il n’y aurait plus de misère,
Personne n’aurait faim.
Plus rien ne serait pareil,
Et pourtant sous le même soleil.
Mais, je sèmerai vite la pagaille.
Se succéderaient des chamailles.
C’est pourquoi, je vous le dis maintenant :
Je ne serais jamais Président.
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«La poésie est cette musique que tout homme porte en soi.»