Lettre a Vincent et Daudet...
Tourment...
Bien me voilà parti dans la région de notre belle Provence, le ciel était bleu, j'avais envie de faire une ballade.
Sitôt dit, sitôt fait; c'était en juillet pas de cette année, le sentier était sec et rude le soleil tapait, des maisonnettes aux pierres de couleur jaune, des cabanons en forme de roseaux, les chiens seuls, au logis l'Arlésienne doit dormir, une mule en tenue de noce plus haut sur le chemin, elle transpirait.
Arriver là haut une courbe d'horizon, une prairie aux couleurs jaunies, des plantes aussi grosses qu'une tête d'homme, j'avais des fourmis dans les pieds et les cigales chantaient.!
Plus bas une charrette une vieille encapuchonnée comme une feuille morte, le vent commençait à souffler, les pétales s'envolaient, plus le vent soufflait, les têtes se décoiffaient, assis et inquiet un tracas de mouvement, une mésange se pose sur le chevalet, je l'ai fait dans un moment de vent comme un tourbillon de mots, la quiétude du pot n'étant pas droit je contemplais, je lève le yeux alors vous deux la haut dans l'auberge rigoliez, Vincent et Daudet la terrasse était parfumée d'une odeur d'amour et d'amitié.
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Mes amitiés.
(©)
https://www.artmajeur.com/fr/art-gallery/portfolio/jouennedaniel
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