Toi qui fait semblant de vivre,
Dans chaque jour qui s’achève.
Toi qui fait semblant de survivre
A chaque jour qui se lève.
Toi qui ne t’es jamais trouvé sur le bon chemin
Toi qui n’as jamais cru en ton destin.
Je t’en prie relève toi.
Vas-tu enfin m’écouter,
Vas-tu commencer Ă me croire.
Et ce n’est pas des histoires.
Le soleil brille pour toi aussi
Le vent léger souffle sur tes ennuis.
Pense Ă cet enfant,
A peine né et déjà condamné.
La drogue, l’alcool, ce sont de mauvaises routes
Tout droit, tu fonces dans le mur
Tu parts à la déroute.
Tu te trompes encore d’itinéraire
Prends ta destinée entre tes mains
ArrĂŞte de pleurer.
C’est vrai que tu souffres
Je n’en ai jamais douté
Mais je t’en prie, relève-toi.
Écris un poème, pourquoi pas.
DĂ©verse sur une page blanche
Ta haine, tes tourments, ta souffrance.
Pardonne-moi, si je te fais mal
Mais je veux, qu’enfin,
Tu trouves ce chemin
Qui te conduira vers des mains tendues.
Vers d’autres jolies rues.
Vas-tu croire encore souvent
Que tous les mauvais coups du sort
Ne sont que pour toi et pour longtemps.
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«La poésie est cette musique que tout homme porte en soi.»