J'ai adoré tes rêves les plus fous et tout particulièrement ces belles trouvailles:
Faire escale en tous lieux, aller de pore en pore,
S'arrimer dans chaque anse où l'amour s"évapore
Et bien-sûr la dernière strophe:
Quand les vents apaisés reprendront leur vigueur,
Le grand mat dénudé, dans toute sa rigueur,
Sans voile s'offrira pour de doux ravivages
Et plus jamais n'ira vers d'inconnus rivages.
j'avoue quand même que le dernier vers, malgré sa musicalité, reste pour moi énigmatique, vu que nous cherchons, dans la poésie, comme dans l'amour, peut-être, à "plonger au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau." Ce n'est pas toi, mon cher Chris qui me démentira.
Mon amitié
Dumnac