Le vent s’engouffre dans ses cheveux
Il la caresse le bienheureux
Confident de ses troublants aveux
Qu’elle dévoile aux étoiles des cieux
Face à l’océan son corps se tend
Telle une offrande aux firmaments
Défiant l’écume aux perles nacrées
Parant sa peau de gouttes sacrées
Le feu qui brule au fond de son cœur
Aiguise ses sens à la ferveur
Suave invitation aux bonheurs
Son âme chante rit et pleure
Elle vibre aux volutes de couleurs
Et au son de ses mots enchanteurs
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