Les fleurs dardaient mon esprit de mille saveurs
Dans cet amalgame je me perdais sans frayeur
C'est ici qu'il faut aller me disaient les fossoyeurs
Mon âme s'y épanchait jusqu'au beau malheur

Mais comme un fleuve rebelle, j'ai débordé
Je me suis enflammé, la montagne j'ai gravi
Dans l'intention, bien sûr, de tout saborder
Mais comme un fleuve rebelle, mon lit s'est tari

A la manière d'un tank, cerclé de maillons,
Les poissons tapant aux parois,
J'avançais, toujours, en pensant aux haillons
Et alors je me suis proclamé roi

Roi des terres inhabitées, quoi de plus logique ?
Tout était si fabuleux, les princes étaient gentils
Et les paysans aussi ! vraiment, c'était si magique
Mais comme un fleuve rebelle, mon lit s'est tari

Et ceux qui se promenaient
Là, ne voyaient plus rien.

Bonjour Jesaispas, voila une cessité qui se généralise.
Mon amitié.

Capricorne

j'aime ce que tu fais, je me demande pk tu n'as pas plus de commentaires pour t'encourager, le " rap" est dans la poésie, il y a bien des poètes engagés. Continu à écrire et bravo!!



Merci pour ce style particulier,




Depuis la nuit des temps l'histoire des pères et des mères prospèrent
Sans sommaire et sans faire d'impairs, j'énumère pêle-mêle, pères mères
Il y a des pères détestables et des mères héroïques
Il y a des pères exemplaires et des merdiques
Il y a les mères un peu père les pères maman
Il y a les pères intérimaires et les permanents...............

----------------