"Traverséé du désert"
Cette nuit,je me revois exploré les pyramides de Giseh,
Le serpend du désir se faufilait entre tes dunes sacralisées ,
Et dans les sables du lit m'enlisé,
Mirage furtif,je n'ai vu que la silhouette d'une personalité mysthificatrice,
En marchant de ce désert affectif,je croyais avoir trouver l'Oasis,
Nul doute que je t'ai trop vénérer comme Isis,
C'est que j'aurais du avoir l'oeil du lynx,
En me doutant ,que tu ne comtemplerais pas autant que l'on contemple le Sphinx.
Ephemere adulation,tu m'as regardé comme si on comtemplais le Sphinx...
Car dans le sable chaud de notre romance,
Au dessus de ce berceau d'étoile ,dort en perpetuelle érrance,
Une âme,qui a laissé ses empreintes de pas , jolie clémence
Syphon apocalyptique ,transverse tant d'image à tes côtes dans les vases de la reminescence,
Salvatrice tu aurais pu noyer mes douleurs ,devenir oasis d'espérance,
Aladin avait pourtant pris ton tapis rouge,avec flamboyance,
Insolation qui me guette, du a ce soleil de la nostalgie qui tape le crâne avec insistance,
Titubant ,assoifé ,s'écroulant dans le sable de ton oubli et de ton indifférence...
J'étais bien marchant dans le moelleux envoutant de ce sable,
Et survoler sur le tapis rouge la tour de pise ne fut pas désagréable ,
Assis sur les deux bosses du dromadaire,sous cette chaleur intenable,
Naviguant sous les flots de tes yeux ,Nil de féérie et de poésie palpable,
Buvant chaque gorgéé,chaque goutte de cette gourde de tes calins
Avalant chacun de tes soupirs ,,ton souffle dans mes cheveux comme l'alyséé,
Pyramides à perte de vue,guide de la libido pour les visiter,
Tempéte de baisers brulants,tempéte de sables,regard ingénu
Imhotep vizir de ton grand palais de chair impossible à quitter,
Scarabéé me semblait être ma mains parcourant tes dunes ,nue
Trouvant cette lampe de génie,nid à génes , melant cométes et soleil
En entrant dans cette caverne aux merveilles,
On m'avait déja éjecté des mIrages de l'amour,
Les réacteur de l'amour enflammé,un coeur- moteur qui se bride,
Incontrôlable appareil qui avait déja foncer tour droit sur la falaise d'un départ sans retour,
Vortex de la haine,pris de panique je m'etais déja jeté dans le vide ,
Ecrasé sur le sable chaud des regrets...
inopinement jeté dans le vide ,sans parachute,sous les nuages des larmes acides!
Ricochant entre les canyons ,les marécages d'une nuit sans mon plein gré,
Atttérissage difficile sur la piste de la désillusion, dans ce long désert aride ...
Oh...Tout cela pour des bourdes
selon ta volonte l
Lampe nid à gênes à renferme le génie a jamais..
je n'ai plus rien dans ma gourde,
le caverne aux merveilles s'est éffrondé;
enfouit le scarabéé,
le tapis rouge déchiré
entre les dunes sacralisées
avec le lequel on avait survoler les pyramides de Giseh,
la tour de pise ,le coliséé
je marche désormais seul,seul
sur ce ciel obscur étoilé,
sous cette chaleur pesante;caniculaire
sur le soleil de la nostalgie
qui me tape ,qui me cogne
à la recherche d'un oasis ,
que je ne suis pas prete de trouver
sous le berceau de la lune;
dans les sable des rancunes
et je risque de m'écroulais,mort assoifé...
le sarcophage d'une romance ,
oû repose la momie de notre amour,
sera peut petre trouver par les archéologues de tes réminiscences,
et peut être qu' al lumiére salvatrice de leurs torches,
tu me pardonnera un jour et fera preuve de plus de Clémence...