candidao a écrit :
Désolé, amis poètes et lecteurs pour cet affreux poème qui ne serait pas supposé avoir une explication s’il était surréaliste…
Mais comme je l’ai voulu sous-réaliste, je vais répondre à quelques uns d’entre vous :
A Dumnac : ton interprétation est intéressante…Mais tu peux te rappeler aussi cette magnifique mixture de pharmacien qu’on appelait Rub ( à l’américaine) et qui permettait de déboucher le nez ou de servir de baume sur la poitrine.
A Guépard : c’est vrai, ça fait charivari !
Mais si tu regardes bien, il y a mon identité dans la deuxième strophe :
-numide qui devient nu humide
- Augustin qui devient auguste teint
A tous : ces quelques vers bizarres pour répondre à quelqu’un qui vient d’insulter mes origines en s’en prenant même à mes gènes par des jeux de mots avilissants.
En petit poète, j’ai utilisé un autre jeu, cette fois d’images, pour réhabiliter le numide et l’augustin
En usant d’un français douteux, la même personne a usé du mot désoxyribonucléique en transcrivant rub au lieu de rib et ça a été le prétexte pour que muse réagît à la congénitale bêtise…
Quant à Cerbère, toujours le jeu d’images qui fait que cerbère est bien un chien, comme moi, mais, lui n’est jamais enragé ! Alors à accuser son chien de rage, il est congénitalement bête de le traiter de Cerbère. A le faire on ne peut se considérer poète.