L'aube d'un nouveau jour dévoile la douleur
D'un monde de furie où meure la raison,
Échouée sur l'écueil de la somme des peurs
Des humains en folie voués à la perdition

Quand le sang coule à flot sur la planète bleue
Et se mêle à des larmes au flot intarissable
Qui pourtant ne parvient pas à noyer le feu
De la sombre ambition d'hommes trop méprisables.

L'aube d'un nouveau jour dévoile la folie
En laquelle s'écrit des humains l'avenir
Quand les sages se taisent, se cachent dans la nuit.

Quand le sang coule à flot sur la planète terre
Et que des enfants pleurent en espérant mourir
Alors dans la folie les hommes dégénèrent.

Une plume de Dehorian

Le 17/04/13

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Je suis mon propre roi.

Intéressants les petits rappels entre quatrains et tercets, merci.

belle lecture, au plaisir de vous relire.

Bonsoir, le spleen ne s'applique pas qu'aux humains mais belle lecture

Amicalement

Bonjour,

Je te decouvre et ton style me plait vraiment beaucoup en ce superbe sonnet

J aime beaucoup le deuxieme quatrain qui me fait penser au tonneau des danaides

Amitiés
Anamorphose

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Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous

La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires