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Ayez pitié du vent qui va et vagabonde
Qui ne sait d’où il vient et ne sait où il va,
Qui dans le grand fracas des tumultes du monde,
Comme traînée de poudre s’arme pour des combats.

Voyez à fleur de mer comme il déplie les vagues,
Froisse leur nudité de frissons étouffés,
Entendez-les gémir en désastreux zigzagues
Soulevant dans les airs des clameurs maculées.

Au désert d’une rue enveloppée de pluie
Invisible et sournois court son imaginaire,
Soulève un jupon s’attarde puis s’enfuit,
Tel un bras vigoureux ii empoigne la terre.

La ville le retient sous ses portes cochères,
Au plus près de ses murs étouffe son ardeur,
L’arbre du vieux jardin tout près du presbytère
A encore une fois, cru à sa dernière heure.

Entendez-le souffler, chevauchant la campagne
L'apatride géant des ténèbres venues,
Epuisé, sur les monts, endors-toi dans la fagne,
Pousse ton dernier souffle et disperse les nues.

HMMMM
marcher et sentir le vent qui nous fouette, on est vivant, la nature communique et s'impose ....

superbe ton texte, grrrr je suis enfermé mais vivement la prochaine promenade

bonne journée

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FPC for ever, FTA avec modération

Les fils d'Eole sont nombreux et tu as choisi de nous en chanter un vigoureux pour nous enchanter. Il fut un temps où j'ai chanté "zéphyr" qui est bien plus câlin.

Amitiés.
Adn

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Le Maroc à quatre mains . Recueil peintures de Micam et poèmes d'Adn.
Couleurs et mots en osmose. Recueil peintures Micam et poèmes d'Adn.
Connivences. Recueil peintures de Micam et poèmes d'ADN.
AXELLE AUTOMNE, HIVER roman par Micam (mon ...

"Entendez-le souffler, chevauchant la campagne
L'apatride géant des ténèbres venues,
Epuisé, sur les monts, endors-toi dans la fagne,
Pousse ton dernier souffle et disperse les nues."

bravos et bises d'un fan

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Méfiez vous des apparences

J'ai senti ce vent vagabond en te lisant. Il y a de bien belles images dans ton poème. J'aime beaucoup... Un gros en coup de vent

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

Bonjour Pampille

un tourbillon de mots où vent nous entraîne libre ou prisonnier. Poétique original et très bien vue.

Amicalement Franie

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Magnifique.!! Un coup de coeur pour ce bel écrit !
...dailleur j'airetenu mon chapeau,le temps de técrire et,
J'ai entendu ce vent, fou, coquin,raconté avec une belle plume qui n'a pas perdu son souffle un seul unstant !

Je déteste le vent, je lui préfère cent fois la pluie, mais tu l'as décrit avec une telle ardeur et de façon si romantique que j'en arriverais presque à l'aimer.

Un coup de cœur pour ce poème, pampille.

Amitiés

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Bonjour, un bel écrit qui souffle un peu d'air frais sur l'Oasis

Amicalement

Ce vent n'est pas fripon mais, à l'image de son auteur, il nous offre un coup de fraicheur assainissant notre quotidien, dont l'air est trop souvent bien chargé.
Merci pampille, pour cet instant de plaisir que nous offre ta lecture

Un vent de poésie que j'ai beaucoup aimé suivre...
Amitiés
Joëlle

.
Et que dire du vent qui ronfle dans la cheminée quand souffle la tempête.

Très belle évocation . Superbe écrit.

Amicalement
Nat

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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.

Bonsoir Pampille,
Curieux comme le vent nous inspire de belles images. j'admire tout particulièrement ta dernière strophe:
Entendez-le souffler, chevauchant la campagne
L'apatride géant des ténèbres venues,
Epuisé, sur les monts, endors-toi dans la fagne,
Pousse ton dernier souffle et disperse les nues.
N'est-ce pas grâce à la magie des rimes qu'il finit dans un étang du nord de la France ou de Belgique, après avoir pris son essor au Pays Basque? C'est bien connu, le Vent, comme l'Esprit, souffle où il veut.
Bien amicalement
Dumnac

Bonsoir Pampille,
Curieux comme le vent nous inspire de belles images. j'admire tout particulièrement ta dernière strophe:
Entendez-le souffler, chevauchant la campagne
L'apatride géant des ténèbres venues,
Epuisé, sur les monts, endors-toi dans la fagne,
Pousse ton dernier souffle et disperse les nues.
N'est-ce pas grâce à la magie des rimes qu'il finit dans un étang du nord de la France ou de Belgique, après avoir pris son essor au Pays Basque? C'est bien connu, le Vent, comme l'Esprit, souffle où il veut.
Bien amicalement
Dumnac

Bravo pour ce magnifique poème très bien écrit, rempli de belles images (originales souvent). J'ai senti un vrai souffle en te lisant. Ton texte est mon coup de cœur du soir.

Très beau poème. Amitiés.

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Bonsoir Pampille

Le vent t'a soufflé de bien belles images
avant de chasser les nuages

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mes amitiés, Halcyon

Une musique de mots et d'images si personnelle et si particulière, mais où chacun peut se retrouver.

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Un poème qui nous oxygène!
Comme ce vent que tu vantes si bien

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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!

Bonjour Pampille une brise légère comme un souffle de vie.
Mes bisous.

Capricorne

J'adore ton écriture... Encore un texte superbe :l'apatride géant chevauchant la campagne,
la ville le retient sous ses portes cochères... On peut dire que ton inspiration ne tarit pas et c'est très bien ainsi...

amitiés

Anne

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http://poesieetsculpture.jimdo.com/

Retrouvez plus sur mon site !

La poésie c'est une lettre d'amour adressée au monde.
Charlie Chaplin

J’ai le plaisir de t’annoncer que ton poème a été élu ''coup de cœur'' par toute l’équipe DES MASCOTTES d’Oasis !

Il sera mis sur la page d'accueil du site jusqu'au prochain ''coup de cœur''.

Il sera également mis dans le recueil ''poèmes nominés'' pour y rester définitivement !

Toutes nos félicitations

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

Quel plaisir de vous lire.
J'admire votre talent. Bravo!
Amicalement,
Lili

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Oh! oh! dit le grillon, je ne suis plus fâché ;
Il en coûte trop cher pour briller dans le monde.
Combien je vais aimer ma retraite profonde !
Pour vivre heureux, vivons caché.
Le grillon. Jean Pierre Claris de FLORIAN

félicitations ,


le vent souffle

de bien jolis quatrains

"Entendez-le souffler, chevauchant la campagne
L'apatride géant des ténèbres venues,
Epuisé, sur les monts, endors-toi dans la fagne,
Pousse ton dernier souffle et disperse les nues."


bravo amitiés

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Tu n'arriveras pas à me faire aimer le vent, mon ennemi mortel, mais j'ai aimé ce superbe poème qui s'envole sur ses ailes, majestueusement.

Merci pour ce coup de coeur des Mascottes d'Oasis! Le vent vous joue de ces tours parfois

A tous mes lecteurs merci de vos encouragements ,A vous Mascottes fidèles toute ma reconnaissance

Pampille