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Le soir, j’ouvre grand ma fenêtre
Qui laisse voir un beau décor,
L’étoile filante peut être
M’apportera du réconfort.
Mais je n’entends que la querelle
De mes voisins, tristes butors,
Que n’ai-je donc des tourterelles
Pour m’endormir dans ce décor.
Dès que la nuit s’emplit d’étoiles
Brodant le dessus de mon lit,
Je tire doucement les voiles
Des rideaux sans faire de bruit.
Un chien aboie, j’entends au loin
Le train qui siffle son mépris,
La grande ourse n’est plus qu’un point;
Mes paupières sont alourdies…
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Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas