Tandis que je vivais d'agréables beaux jours !
Mon âme s'abandonnant aux délices de l'amour
Heureux de satisfaire la plus douce des envies
Joyeusement uni à celle qui me ravit !
La mort est venue mon bonheur emporter
Me fauchant avant l'heure, en pleine virilité !
Écourtant cruellement ma soif de volupté ;
Alors que je baignais dans la félicité.
A contre coeur j'ai du lui emboîter le pas !
Celle-ci usant de force m'envoyant au trépas
Y rejoindre la paisible demeure, du mortel;
Le Shéol, où l'homme jouit du repos éternel !
guygh