Le Buisson,
Dans ce labyrinthe de course de vie,
À la recherche d’un bel amour infini,
J’ai couru dans les dédales du fortuit
Et essayé d’atteindre ses soieries.
Elle arquait sa silhouette Ă ne point,
Être dévoilée dans ses désirs et confins,
De l’amant et homme, d’elle désirant,
Pour accentuer mon Ă©tat tressaillant.
Dans ce lacis de fourrés et cachettes,
Moi, amoureux, je cherchais la nymphette,
Qui attirait, curiosité et parfums de plaisirs
Dans son échappatoire, comme pour m’ébahir.
Ce jardin, qui ne semblait pas à l’Eden,
Avait un attrait de plaisance et aubaine,
Pour celle qui convoitait l’attrapade,
Et celui qui aspirait à un moment d’aubade.
Autour des dédales qui nous entourent,
L’amour n’ahane pas à bruit de tambour,
Il arrive, en cachoterie, d’arrière un buisson
Et sans attente ni sans réelles raisons.
Antoine
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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