Re: Droit de réponse .
Je réponds un peu tard, quand la tempête est passée...
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Bonjour ami poète,
Tout d'abord, je dois dire que je suis subjugué par tes vers.
On s'incline devant une plume aussi brillante !
Je me sens un peu gêné d'avoir écrit des vers où j'étale ma souffrance.
Je fais partie de ceux qui expriment leur malheur, mais j'essaie de le faire de façon théâtrale, comme si le lecteur assistait à une "tragédie", et donc à un divertissement ; comme s'il voyait un comédien jouer sous ses yeux. C'est ainsi qu'il faut percevoir mes poèmes.
Je me livre à un exercice littéraire, en tâchant de produire des vers harmonieux et expressifs, à partir d'une situation de la vie réelle.
Je pense que tu t'en es rendu compte, et que tu apprécies quand même mes poèmes.
Mes malheurs ne sont arrivés que récemment, début 2013.
Avant, j'écrivais des poèmes plus plaisants, et je tâcherai d'y revenir.
C'est d'ailleurs ce que j'ai fait récemment, en publiant mon dernier poème, "La Reine des Damnés". Oups ! encore la damnation ? Non, il s'agit d'une sorte de "fantaisie ténébreuse" ; donc point larmes.
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J'ai également lu ton poème où tu nous révèles une chose terrible : le suicide de ta fille.
Cela m'a profondément ému.
On imagine ce que tu dois penser en lisant nos poèmes, où l'on se plaint pour des choses moins graves.
"Je sais ce que c’est que d’avoir de la peine
Je la laisse en mon cœur prendre un vrai repos."
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J'ai écrit un poème, pour prolonger la réflexion de "Droit de réponse".
Je le publierai prochainement.
Très cordialement.
Bisou.
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Je vous invite à découvrir mes poèmes, empreints de délicatesse, de romantisme, de spiritualité, etc. (Prononciation classique : i-on ; i-eux ; i-eur ; i-a ; i-an ; etc.)