Dans le parc d’un jardin fou,
Entre la flore et l’eau des trous,
Vie un pavillon de rĂŞve,
Lézardant sur la grève,
Le pin méditerranéen,
Des grands piques d’agaves,
Fournissent les ruines graves,
Courant de vigne d’un clair raisin,
Il y a roche chimérique,
Planté dans le sable,
En portail authentique,
Entourant une table,
Forgé d’un bras d’argent,
Détenant une large épée,
Fendant les brises du vent,
Qui au loin l’éventé,
D’un long mur pierreux,
L’amphore rouge terre,
Crève d’une fissure au pied,
Sur un sol malheureux,
Sous les vapeurs du soleil,
Fulmine les oiseaux du ciel,
Plongeant vers la mer,
Qui a la peau un peu plissé,
Paysage agrémenté,
Du chant des grillons,
Que la chaleur à grillé,
Pour savourer l’horizon,
L’îlot du révérant bastion,
S’enroule dans les flots,
Émergente allusion,
Esquisse doucereuse du repos.
Aathahorus 27/12/2012
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Il n'y a pas d'amour, pas de douleur, pas de jours heureux et de malheur sans vie.