MES JOURNÉES
Des milles et des milliers mes journées
Existence normale faite de hauts et de bas
Par ton horloge dès potron-minet conditionné
Affronter au quotidien les entourloupes d'ici-bas
Trop rapides quand tu t'épuises à bosser
Fastes ou grises, parler plutôt en décade
Pénible école, temps infinis à potasser
Puis boulot dans l'habitude et les foucades
Le stress, les soucis, court après la pendule
vivement la retraite, enfin se la couler douce
Défilent les ans, à perpète prisonnier de ton bidule
Famille et amis en soutien, souvent à la rescousse
Boun diou, labeur déjà fini, enfin arrive le repos
Détente et farniente, bref, tu atteints le nirvana
Petites distractions à ton ennui servent de galipot
Aubade perpétuelle à la joie jouée sur un ocarina
Malheur les heures s'enfuient encore plus vite
La différence, de participant finir en spectateur
Sur ton orbite dangereusement tu gravites
Bataille perdue d'avance, le temps fin bretteur
Sur mon écran le mot fin un jour s'affichera
Séance terminée mais la pièce fut bien jouée
Au Mt Blanc mes cendres, pays éternel, futur émirat
Mais la représentation continue, la faux à amadouer
LE TROUBA D' OC
décembre 12
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la vie est belle a la retraite que tu en ai 60 ou 70 ou plus si tu es en bonne santé! tamalou? mot a eviter;
les poemes un passe-temps sans aucune pretention dans la beauté de l'aurore avec le soleil qui me fait des levers pharaonique sur la mer...