Je vois sur le mur de cette fresque, une parole,
Un acte incomplet énumérant un songe, qui s’affole,
A qui diable, doit-on donner la clef de notre geĂ´le ?
A quand l’esprit du cœur, battant la mesure ?
Qui n’écœurerait pas cette vie, d’assurances réservées d’azur,
Promesses vulgaires, perlant Ă notre encolure.
C’est à choisir qu’émane notre destin,
Rejeter le confort Ă©mulsif de la douceur des Ă©crins,
Joué de vie comme pantin, la vie comme catin ?
Versez la pluie de notre culture dessertie, Ă©teignez le cri,
D’un monde enseveli sous les épaves de nos envies.
Tout d’un rêve qui nous emplit, alors que le cauchemar vit.
Quand verrons nous la vraie croix, l’ansée ?
Pas de ces lagunes entités, ne nourrissant qu’identités,
Oubliant la réalité, ah! triste Société consumée !
Aathahorus (2012)
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Il n'y a pas d'amour, pas de douleur, pas de jours heureux et de malheur sans vie.