"Tu te promènes et cette nuit est si brune...
je te rejoins sur ton croissant de lune..
asseyons nous au bord de l'inconscient,
les pieds et les mains ballants vers le néant...
Si tu pars encore à la nuit venue...
pour jouir librement sans compte rendu...
le crépuscule me console, il embellit.
les corps alanguis, par l'attente assoupis...
"
ces passages ,j'aime tout comme le reste,ton texte oscille entre le clair et le profond
entre légerté et la dense teneur de pensées.
ArtMaux