Je Le sens... Mais ne ressens pas
Ma foi éclore dans le doute...
Peu allègres semblent mes pas
Sous l'astre qui m'ouvre la route.

Comme les aurores évitent
De gober les nuits éclatées
Jamais les couchants ne s'invitent
A l'ivresse des voies lactées.

Oui, le vermeil n'est qu'apparence
Et c'est dans le noir que l'Amour
Exhale la toute constance
Des "je Le vis, jour après jour"

Et mieux que nul autre pareil
C'est bien au zenith que mon coeur
Peut dans le plus simple appareil
Féconder ma foi au bonheur.
A.ALLOUN

Bonjour Candidao, connaître le zenith grâce à ta belle plume me parait très poétiquement réussi.
Mon amitié.

Capricorne

mes amitiés
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

un texte admirable candidao, le rapport entre l'homme et la foi, la nature servant de lien, ce sont des images très fortes, avec la notion de doute brillamment mise en lumière, un grand bravo,


yann

Bonjour à tous et merci d'aimer

Bonjour Candidao,

Une clé de voûte qui émerveille sous ta très belle plume en partage !



Belle journée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

très belle remontée merci Sybilla!
superbe comme toujours sous ta plume!
de bises