Re: C'est là que le bât blesse...
magnifique vraiment magnifique cette décroissance de l'amour distillé parmi tes vers comme un venin mortel
dieu nous en protège
mon premier poème pour toi(je le posterai)j'avais 14 ans
<"l'habitude"
C'est un dépérissement sauvage,comme une fleur qui fane,
qui nous enserre, sans plus de possibilité de s'épanouir de se mouvoir
qu'un poisson dans les eaux stagnante d'un étang, qui, au détour du rocher,
au beau milieu du miroir, retrouve son rêve de voyages dans des méandres d'algue.
p.roussel
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la souffrance nous isole ; n'est-ce pas la pourtant le seul vrais partage en ce monde et n'est elle pas le terreau des plus belle roses P.Roussel