Le naufrage du COSTA CONCORDIA. Nous aurions pu être toi et moi Sur ce Paquebot dans la joie ! La magnifique ville flottante Pour une croisière intéressante Ô ! Je sens que cela vous tente ; Passager du COSTA CONCORDIA Qu’elle âme serait indifférente. Je vois ! Vous souriez déjà ! Heureux d’accomplir ce rêve ! En vous éloignant de la grève Joyeux vogué sur l’océan Dans ce beau fleuron flamboyant ! Où tout est conçu pour la fête Que l’on oublie sa vie d’ascète ; Couper du traintrain quotidien Dans la ballade faisant du bien. Combien ont fait la traversée Sans jamais penser au naufrage Et sont rentrés chez eux charmés De leur voyage ; enthousiasmés. Mais cette fois, vous êtes à bord ! Sur le pont vous bronzez encore ! Dans la grande salle le cœur entrain ; Tout le monde se réjouit du festin. Mais soudain! Arrive le malheur ! Venu mettre la peur au cœur ; Le Costa Concordia s’est échoué En s’empalant sur un rocher A son bord un vent de panique Fait redouter sa fin tragique ! L’impensable vient de se produire On voit se coucher le navire ! Hélas ! Hélas ! Triste on déplore Que ce naufrage fit tant de morts ; Disant : pourquoi Poséidon N’a pas accordé le pardon. Guyhg. Samedi 14 janvier 2012 Un souvenir amer Venu des entrailles de la mer.