Lorsqu’éternel n’est point l’amour ou bien divin
Sous son masque d’enfant, Cupidon se veut sage
Qui nous dit « jamais 2 sans 3 » suivant l’adage
Et l’entonne espiègle, sur un air plein d’entrain.

Nos premières amours long feu ne firent pas
Et leur inconstance ne put nous en blâmer.
Nos deuxièmes amours de conjuguer aimer
En amer et à mort ! Gâchèrent leurs appas.

Mais durèrent longtemps nos troisièmes amours
Titubant puis rampant en de glabres détours,
Au gré des flammèches de nos si laids arcanes.

Putride en fut mon sein, cupides ses raisons
Par ces tristes amours écloses en oisons,
Gavés de cabales et bien gras de chicanes.
A.Alloun

J'aime ,bravo !
Tristesse et amertume ! Mais je me trompe peut etre ,Mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

j'ai bien aimé ton poème ..dur et triste comme l'Amour déchiré.!..

De tristes amours rendues divines par ce beau poème!
Plume d'oie

merci à tous

pathétiques...amours..

un beau sonnet , bravo

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Merci Cyrael, avec mes amitiés aussi, j'ai aimé ton vert régime de bananes