Voici venir devant mes yeux
Eblouis par tant de lumière
Une ville unique sous les cieux
Aux parcs fermés par des barrières

Aux rues désespérément vides
Et le chant bleu d'une rivière
A mes oreilles si limpide
Calme ma peur puis la fait taire

De cette cité engloutie
Comme l'eau d'un bout à l'autre
Je promène ma mélodie
Dans le silence de mes hôtes

Changés en pierres de bâtisse
Ils m'observent emprunter le pont
Sous son arche c'est le temps qu'il tisse
Puisque Clepsydre est son nom

Filtrant le flot qui se prélasse
Lentement quitte la cité
Il est pour moi la préface
De ce qui ne peut être rattrapé

Joli poème, comme un rêve

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Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage

Boileau

Bonjoue eloge, un beau poème que cette ville engloutie.
Mon amitié.

Capricorne

une très belle lecture

j'ai aimé vous lire
préférence
Pour le 4ème quatrain *

une poésie
de toute beauté
à découvrir vos vers orfévris

bravo

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo