Du Silence
les sens me tutoient avec des parfums de cannelle épicée
quand de la palette du sculpteur fixe sa couleur nuancée
la fièvre s·empare de sa Muse dans un arc-en-ciel oranger
Silence
Dans un abri de fortune des vieilles gens pleurent
dans un abondons total et d'indifférence saignent les coeurs
L'impuissance et l'insouciance des autres continents
donne à réfléchir que le monde et fous et a peur
Silence
Les ingrédients du bonheur tombent dans l'obscurité
j'entends le son des tambours le souffle voluptueux
insouciance des gens et pays heureux en sable bleu
Silence !
j'entends battre le coeur des mornes autour du lac ;
le glissement désespéré des souvenirs rythmé d'angoisse :
la marche des somnambules dans l'immense tourbillon de la nuit
Silence
Quand les Présidents de donne à l'abondance et le peuple de faim meurent
qui les pleure ? tout en défense sans sens ni phrases de ses pays
et de lui agonies, parce que les grands de ce monde la pensent pleine ne sans soucie pas
Je sors de mon Silence
je crie ma furie au monde des humains inhumain, déchainent les éléments de mon ciel
et accourent à dieu et aux cieux, Zeus et orages de tout mon être ne point me taire
et plu de Silence mais des hauts de hurle vent
écrit de Stephan Eruam et Laura Joannidis le 17-11-2011 @tout droit réservé aux auteurs